Dans les couloirs silencieux de l’hôpital genevois, Laura sentait désormais un malaise suivi. Depuis qu’elle avait enseigné ces pensées prémonitoires citant la disparition du de personnalité, son quotidien avait basculé dans une atmosphère d’inquiétude réguliere. Chaque immixtion avec ses collègues lui semblait teintée d’une peur diffuse, comme si la réalité https://edgarzjpsv.daneblogger.com/33375954/la-cellule-des-desseins-transplantés